1. Les ingrédients
    – 200g de potimarron
    – 60g de champignons
    – 45g de carottes
    – 30g d’oignons
    – 500g de sauce tomate
    – 5cl de vin rouge
    – 2g de sel
    – 1g de poivre
  2. Les étapes de la recette
    – Faire suer à la poêle les oignons et les carottes hachés finement
    – Ajouter les champignons hachés et faire revenir
    – Déglacer au vin rouge et faire réduire
    – Ajouter la sauce tomate et laisser compoter 10 minutes
    – Ajouter le potimarron haché
    – Faire cuire 15 minutes

Bien nourrir son enfant est un thème qui revient souvent en activation.
Il faut dire que ce n’est pas toujours du gâteau…
Découvrez les astuces du chef Pierre Rigothier !

Un « papa poule » et chef étoilé !
Élevé dans une famille d’épicuriens, Pierre aime dès l’enfance préparer en famille le dîner et les repas de fêtes.
Inspiré par la cuisine inoubliable de sa grand-mère Madeleine, il décide très jeune qu‘il sera cuisinier.
Pierre Rigothier a notamment fait ses armes dans les maisons les plus prestigieuses : Jacques Maximin, le Ritz, le Burgundy…
Amoureux des challenges il décide en 2016 de rejoindre le restaurant La Scène Thélème à Paris, et sera récompensé dès février 2017 par une étoile au guide Michelin.

En 2017, il revient dans sa Gironde natale, et ouvre son propre restaurant Lune, entre Bordeaux et Saint Emilion, dans lequel il met en avant la créativité et la convivialité de ses recettes !

Papa de deux enfants, il a à cœur de bien nourrir sa famille, en trouvant des astuces pour leur faire découvrir de nouveaux goûts grâce à des ingrédients soigneusement sélectionnés chez des producteurs locaux.

  1. Les ingrédients :
    – 4 bananes bien mûres
    – 100g de sucre de canne
    – 150g de beurre à température ambiante
    – 2 œufs
    – 100g de noix de coco déshydratée
    – 150g de poudre d’amande
    – 50g de farine
    Pour une versions sans gluten, choisir de la farine de sarrasin
    – 1/2 sachet de levure
  2. Préparation de base
    – Préchauffer le four à 180°C
    – Ecraser les bananes pour les réduire en purée, et ajouter le sucre
    – Ajouter le beurre, les 2 œufs légèrement battus, puis mélanger
    – Ajouter le reste des ingrédients, puis mélanger
    – Verser la préparation dans un moule à cake (ou dans des mini-moules à gâteaux ou à muffins pour glisser les banana bread dans les boîtes à goûters)
    – Faire cuire au four pendant 45 minutes
    Le Banana Bread est cuit quand la pointe d’un couteau ressort sèche.
  3. Pour faire le plein d’énergie
    Ajouter une belle poignée de fruits à coque préalablement torréfiés au four pendant 25mn à 160°C (amandes, noisettes, noix, noix de pécan…)
  4. Pour les gourmands
    Ajouter du chocolat noir, du chocolat au lait en gros morceaux, ou même des morceaux de Carambar au caramel !
  1. Pouvez-vous nous en dire plus sur la marque que vous gérez, ses valeurs, sa cible, son positionnement ?
    Pringles est une marque de produits salés apéritifs appartenant à Kellogg Company. Sa forme unique, connue sous le nom de paraboloïde hyperbolique, sa mascotte Mister P et sa boîte emblématique ont fait de Pringles l’un des snacks les plus appréciés au monde. Pringles est disponible dans plus de 140 pays et dans plus de 110 saveurs délicieuses qui peuvent être achetées dans un certain nombre de formats.
    Notre cible principale est constituée de jeunes adultes soit 18-34 ans, qui ont soif d’aventures et sont toujours à la recherche de nouvelles expériences, y compris gustatives.
    En France, la marque est leader sur la catégorie des PSA avec 8,7% des PDM valeur, ainsi que des tuiles avec 60% des PDM valeur. Par ailleurs, 1 foyer sur 3 achète la marque Pringles.
    La belle croissance de Pringles est réalisée grâce à des campagnes uniques notamment sur l’occasion de consommation numéro 1 qui est l’apéro, sur les centres d’intérêt de nos consommateurs (foot, gaming, apéro) et sur les plateformes d’innovation pour recruter e.g. la gamme épicée Flame depuis 2021.
  2. Quels types d’activations autour du thème sport, avez-vous l’habitude de mettre en place et pourquoi ?
    Le sport le plus activé par Pringles est le football : en 2024 Pringles fêtera d’ailleurs ses 20 ans d’activation autour du sport préféré des Français. Les deux occasions du foot et de l’Apéro vont de pair, il est donc tout naturel pour Pringles d’être présent pour accompagner les consommateurs pendant les gros évènements footballistiques !
    Tout d’abord, nous mettons en place un jeu sur nos boites, accessible via un QR code renvoyant à notre site promotionnel, permettant à nos consommateurs de gagner de super lots comme des ballons connectés ou des TV Samsung.
    Ensuite, nous équipons notre force de vente de PLV autour de la thématique du foot et dotée d’un jeu concours, afin de maximiser notre impact et visibilité en magasin, mais également de renforcer encore un peu plus le lien entre les consommateurs et Pringles.
    Enfin, nous développons du contenu fun et décalé qui sera diffusé en digital et sur nos réseaux sociaux.
  3. Team « partenaire officiel » ou Team « acteur opportuniste » : quels avantages et inconvénients selon vous ?
    Il n’y a jamais de partenariat opportuniste, nous construisons nos stratégies de marque sur une base de moyen/long terme, en concentrant nos activations sur les causes et sujets proches de notre identité de marque et cohérents pour notre cible.
    En revanche, nous sommes attentifs au marché et aux tendances et pouvons travailler pour des occasions spécifiques avec des partenaires de court terme.
    Les deux teams ont leurs avantages et leurs inconvénients, la clé est de rester fidèle aux valeurs de la marque, et de tabler sur les centres d’intérêt principaux de notre cible.
  4. Dans vos activations Sport, quels sont les hits et les flops ?
    Pour Pringles, chaque activation a permis d’apporter de nouvelles connaissances sur notre cible, par exemple le type de contenu et canal de communication idéal pour générer un maximum d’engagement sur le thème du foot.
    Nous sommes également à l’écoute des nouvelles tendances qui émergent régulièrement, et qui nous amènent sur de nouveaux types de partenariats comme le e-sport.
    Aujourd’hui, le gaming est un centre d’intérêt incontournable auprès de notre cible, c’est le nouveau terrain de jeu où se retrouve la génération Z à la recherche de nouvelles expériences.  
    Notre ambition est de faire de Pringles le snack préféré de tous les gamers.
    Afin d’engager et être pertinent pour le plus grand nombre, Pringles table sur partenariats avec de marques influentes comme Logitech G. C’est pour creuser sa crédibilité au sein d’une cible plus petite mais très qualifiée que Pringles s’associe à des équipes de e-sport comme G2 dans le passé, ou encore BDS en 2023.
  5. Et quels conseils donneriez-vous à des annonceurs voulant se lancer sur le thème du Sport en activation ?
    Il est très important de sélectionner le bon sport : celui qui sera le plus pertinent auprès de la cible principale (en fonction des centres d’intérêts, de l’âge etc) mais également le plus en adéquation avec l’occasion de consommation. Par exemple, nous savons que 65% des produits salés apéritif sont consommés à plusieurs, et que 61% des Français regardent le foot ensemble : l’euro de foot de 2024 représente donc 300 millions d’occasions d’apéro pour Pringles.
    Il est intéressant également de faire un mix dans les canaux de communication afin d’engager à la fois les plus sportifs et les moins sportifs au sein de sa cible. On peut par exemple parler aux footballers avec un partenariat comme l’app Sporteasy, et à un public plus large via le recours à des créateurs de contenu et la diffusion sur les réseaux sociaux.
    Enfin, les valeurs du sport sélectionné doivent être en accord avec l’identité de la marque – la marque Pringles met en avant un côté fun et les notions de partage et de créativité, des éléments qui correspondent aussi bien au foot qu’au e-sport.

Nous sommes très fiers chez HOTCAKES, de ce très beau résultat de 75% de compétitions gagnées par notre agence à mi année 2023.
Très fiers de nos équipes, de nos créatifs, qui outre leur travail exceptionnel souvent dans l’urgence, font preuve d’une patience à presque toute épreuve, à tous nos partenaires sans qui rien ne serait possible (planneurs strat, développeurs, consultants, licencieurs, imprimeurs et fabricants, régisseurs, centres de gestion, associations…) .

Les compétitions, c’est une énergie déployée incroyable pour une agence : toujours se renouveler, se questionner, se remettre en cause, étudier des tonnes d’idées, garder les plus adaptées, les pousser, les développer, les mettre en scène, les exécuter, les budgéter, se poser 1000 questions pour les vendre le mieux possible, y mettre tout son cœur, toutes ses convictions et… attendre, attendre…la réponse et le débrief (d’ailleurs chers annonceurs : n’oubliez pas le débrief : c’est majeur pour une agence d’être bien débriefée même si elle a perdu et encore plus si elle a perdu pour comprendre et continuer de progresser…).

Et bien évidemment, nous sommes très reconnaissants à tous nos clients et prospects pour leur confiance depuis tant d’années…

Pour les associations, c’est tout bon

  • Accès à de nouvelles ressources, qu’elles soient financières ou de compétences,
  • Accès à de nouveaux réseaux et canaux de communication,
  • Vecteur de notoriété pour les jeunes associations et de présence à l’esprit pour les autres,
  • Excellent moyen d’élargir le cercle des donateurs avec les consommateurs
    de la marque.

Pour les marques, c’est l’opportunité de :

  • Répondre aux exigences des distributeurs en matière d’activation
  • Nourrir leurs engagements et leur image en matière de RSE,
  • Se différencier des concurrents,
  • Gagner en visibilité,
  • Créer une émulation auprès des salariés en contribuant à améliorer le climat social interne,
  • Déduire fiscalement les dons.

Les 7 enjeux importants pour la marque

  1. Le choix de l’association qui nourrira et renforcera son ADN
  2. L’investissement financier mais aussi de temps
    qu’elle est prête à consacrer au partenariat. Certaines associations demandent des tickets d’entrée très élevés et ont des processus de validation assez chronophages.
  3. L’objectif à court terme ou à long terme qu’elle se fixe. On a tous en tête l’incroyable sucess story d’Innocent x Petits Frères des Pauvres. Une vraie saga promotionnelle qui parvient à se renouveler chaque année depuis près
    de 18 ans !
  4. Le choix de la mécanique promo à mettre en place pour kapper les remontées et éviter les dépassements budgétaires.
  5. Le story telling cohérent et consistant que le partenariat délivre. Certaines associations sont plus ouvertes que d’autres à l’idée de monter avec l’agence un dispositif ad hoc dédié à la marque.
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